Relevée de colonies[Quête]

Il y a quelques jours de cela, j’avais rencontré de nouveau Nova. Sans m’en préciser l’exacte cause, il m’avait demandé de me présenter de l’autre côté de la ligne séparant la zone pacifique de celle dangereuse. En me renseignant sur ce qui se retrouvait de l’autre côté de la frontière, j’appris qu’il me fallait un passeport pour traverser.

Pour ce faire, j’eus besoin d’utiliser mes contacts. En effet, je contactai des anciennes petites organisations auxquelles j’avais milité. Après quelques discutions administratives et jeux de pouvoir, je reçu le fameux droit de passage. Ma mission était de me renseigner sur ce qui s’y trouvait et de faire en sorte que la diplomatie avec l’extérieur se déroule dans la paix. C’était du charabia pour me laisser passer.

Après un long voyage en avion, je me retrouvai sur le sol africain. Bien équipé de mon matériel administratif et de la paperasse qui s’y rattachait (à laquelle je ne comprenais absolument rien), je me dirigeai vers la frontière. J’étais vêtu d’un complet noir et de ma lame située sur mon dos. Avec ce costume, j’avais une valise question de faire encore plus journaliste… ou tout simplement touriste. Toute cette besogne m’avait coûté un paquet d’argent et de temps, le rendez-vous avez Nova était mieux de me rapporter. Mais comme tout bon businessman, j’avais un pressentiment. Peut-être était-ce aussi le fait que je jouais trop ce rôle qui ne me faisait pas.

J’étais arrivé à destination. Un soldat m’aborda.

-Veuillez rebroussez chemin monsieur, vous n’avez pas affaire ici.
Je répliquai aussitôt.

-Vous vous trompez soldat, je viens en ce lieu pour une raison bien plus haute que votre petit jugement impromptu. Vous devrez savoir que je suis envoyé par l’Organisation des Nations pour la Paix. Voici mes papiers.

Je lui tendis aussitôt le passeport. Sourire en coin, je prononçai ceci :

-Alors, c’est long…

-Allez-y, monsieur.

J’étais plutôt fier de moi. Il n’avait que faire de cette organisation qui tentait d’agir par la non-violence. Restait à savoir où se trouvait se cher Nova. Après une petite marche, j’aperçus une lueur mauve se distinguer dans l’air. Cette lueur se changea rapidement en fluide qu’on aurait cru pouvoir toucher, ce que je n’osai pas. C’est en se terminant en un vortex flamboyant et presque violet que l’ange Nova sortit. Je déposai ma valise et l’attendait maintenant avec enthousiasme.

[HRP: J'ai fais un petit test avec les alignements du texte... Je crois que c'est la dernière fois que je le fais: C'est un peu bizarre]

C'est dernier jour, je me suis établi un campement entre le Madagascar et le Kenya. Plus précisément dans le Canal Mozambique. Cette étendu d’eau est parsemé de récifs de coraux des plus magnifique. Malgré que je sois une démone, j’apprécie bien les chefs d’œuvres de mère nature. Par contre, ce que je déteste le plus au monde ce sont les humains et autre race qui viennent tout gâcher avec leurs inventions à la noix. C’est justement ce qui a contrecarré mes plans.

Un groupe d’humains étaient à la pêche. Ce qu’il y avait de bizarre c’était que ce n’était pas des Africains, ni même des Malgaches, c’était des hommes blancs avec un costume militaire. Et après un petit coup d’œil … ils n’étaient finalement pas à la pêche. Que pouvaient-ils bien faire dans un continent si éloigné du leur ?

- Des hommes blancs ? Ici ? Il y a quelque chose de pas très nette la dessous.

Je nageait alors jusqu’au parois en métal de l’énorme navire militaire et l’escalada. Avant de m’y infiltrer je vérifiai si il n’y avait pas trop de soldat qui était dans le coin. Le seul que je vis était un garde qui avait le mal de mer. Si mon œil ne me mentait pas, il avait mangé des toasts ce matin. Donc, je passait par-dessus la barrière de sécurité et me dirigeai vers une zone remplie de «container». Je brisai le mécanisme pour barrer les portes d’une de ces boîtes de métal et m’y cachai pour le restant du voyage. Je me retournai et jetai un regard à la cargaison. Il s’agissait de nourriture.

- Si ils emmènent de la nourriture avec eu c’est sûrement parce que c’est un travail de longue allène qu’ils ont à faire.

Je tassai les boites de soupe et les bouteilles d’eau pour m’y cacher en arrière. Ce n’était pas le grand luxe mais je réussis tout de même à trouver le sommeil.

Quelques heures passèrent et je dormais toujours. Soudain d’étranges bruits me firent réveiller en sursaut. J’avais l’impression d’être secoué de gauche à droite sans arrêt. On entendait un homme dire :

- Pas trop vite ! Lentement, lentement ! Lentement j’ai di !

Ils devaient sûrement être entrain de débarquer la cargaison. Puis tout à coup plus rien.

- C’est bon tu peut y aller !

Un bruit de moteur se fit entendre. Je devais être sur le camion qui conduisait jusqu’à leur campement. Encore une foi, entre les cannes de soupe et l’eau je m’assoupie.

Encore une foi je me réveillai mais encore plus brutalement que la première foi. Deux homme étaient entrain de me scruter de haut en bas en ce posant mutuellement des questions sur ce que j’étais. J’ouvris les yeux d’un coup sec :

-Bou !

À la vitesse de l’éclaire je pris la tête de l’homme le plus proche et le lui arracha. Je m’en servi pour assommer l’autre homme avant de lui dévorrer le cœur alors qu’il était encore dans sa cage thoracique. Le sang giclait de partout, mes dents étaient parsemées de morceau de chaire et mes mains prêtes à tuer.

-Tout ce vacarme ne passera sûrement pas inaperçu. Je dois me faire subtile …

Je me concentrai quelque instant sur l’air ambiant et fit en sorte qu’un brouillard extrêmement épais apparaisse. Un homme normal ne pouvait pas voir plus loin qu’à un demi mètre devant lui. C’est pourquoi on entendait de plus en plus de cri de panique dans les rangs … Par contre, c’est cris n’était pas du seulement à cause de l’épaisse masse d’air. C’était un peut à de ma faute si ces hommes s’époumonaient. En effet, je courrais à gauche et à droite en profitant du fait qu’ils ne voyaient rien pour les embrocher avec mon trident et déchirer leur peau si fine avec mes ongles et mes dent. Je n’hésitait pas à les faire souffrir très … disons le … sadiquement.

J’arrachais les jambes en premier d’un pauvre homme qui urinait dans ses pantalons pour finalement lui planter mon trident dans la tête alors qu’il rampait sur le sol. J’utilisait ma mains pour arrache le cœur d’un autre pas très très loin du précédent. Je plaçait mon trident entre les jambes d’un troisième pour finalement faire remonter la lame jusqu’à ses cheveux pour former deux partis parfaitement égales. Par la suite je bondi sur un autre et le fit tomber par en arrière tout en lui mangeant la cervelle. Je vous laisse imaginer les autres meurtres.

Quelque 15 minutes de massacre passèrent pour finalement apercevoir un petit bâtiment différent des autre. C’était un genre de poste payant … ou quelque chose comme ça… un peut comme avait les humains quand ils stationne leur engins roulants mais cette fois si en plus gros. J’y entrai avec méfiance car le brouillard ne c’était pas installer dans ce bâtiment. Mais ce fut sans peine car la seule personne qui s’y trouvait était morte d’une étoile métallique dans le cou.

- J’ai bien hâte de rencontrer l’auteur de ce meurtre. ( =D )

Je continuai de marcher un peut plus loin tout en gardant le brouillard intacte. Je marchais, l’air non chaland tout en repensant à la série de meurtre d’un peut plu tôt. J’en étais bien fier. Les yeux fermés et les bras derrière la tête, je relaxais enfin. Soudain :

- Hey, mais qu’est-ce que …

J’ouvrit les yeux apeuré et aperçu un soldats que je venais de bousculer. À voir sa réaction, lui, il ne m’avait pas vu. Soudain … je regardait à gauche et a droite et vit une rangé complète de soldats qui semblaient faire un périmètre de sécurité ou je ne sais pas quoi. Je reculais de quelques mètres pour échapper à leur vision.

- Que peuvent-ils protéger ainsi …

Malgré leurs lunettes infrarouges pour essayer de percer ces nuages épais, ils ne pouvaient pas me voir à cause de mon sang froid. Alors, je n’eu aucune misère à passer de l’autre côté de la ligne et de m’aventurer vers l’inconnu.

Ces derniers temps, de plus en plus de rumeurs se faisait entendre sur l'Afrique du Sud. Des morts revenaient à la vie... intéressant. Et si étrange à la fois. Mais pourquoi revenait-il? En fait, se n'est pas vraiment ce qui intéressait Avalon. Ce qui l'intéressait, s'était comment? C'est ce qu'il allait découvrir. Dans la Citadelle, il ce rendit devant son ordinateur. Il fit quelque recherche, et découvrit que personne ne pouvait entrer sans laisser-passer. Une imposante clôture avait été monté autours du désert. Des gardes y étaient posté. Même s'il le voulait de tout son être, ces bras et sa jambe robotisés ne pourraient jamais le faire entré.

Avalon posta un message au groupe d'intervenant du site. Il réussit à avoir un permis en les convaincant qu'il devait s'y rendre faire des recherches. Ce cas de revenant devait être étudier pour tenter de développer une nouvelle technologie, un nouveau médicament, ou autre chose. Après quelque jours d'échange, il réussit enfin à avoir son laisser-passé.

Il s'embarqua dans un avion en direction d'Afrique du Sud. Un long vol d'une dizaine d'heurs. L'atterrissage se fit près de la clôture. Un groupe de militaire était posté non-loin de là. Dès sa sortie d'avion, il s'avança d'un pas pressé vers la porte. Un soldats se précipita vers lui.

-Désoler, mais l'accès est interdite...

Sans répondre, Avalon lui plaqua des papiers contre le torse, et continua sa route. L'homme regardait les papiers, étonné par un tel comportement. Il les feuilletait, puis s'arrêta sur un, qu'il lu.

-Heum... C'est bon! Laissé le passé....

Deux gardes ouvraient la grille devant lui. Ils avaient l'aire d'y mettre assez d'effort. Avalon plaça ces mains entre chaque portes et força. Les portes s'ouvrirent bien plus vite que s'il aurait attendu que les deux soldats fassent leur travail.

-Merci.

Il continua d'avancer. Quelque personne se trouvait déjà là. Il était en retard on dirait. Devant lui se dressait un immense désert. Le désert de Kalahari. C'était un long voyage qui s'annonçait. Et il savait déjà qu'il y découvrirait un tas de chose... Dans le groupe, trois personnes ressortaient particulièrement. Une femme vêtu en blanc, et deux hommes qui discutaient. Il rejoint le groupe et se plaça un peu à l'écart et réfléchit. Il avait prit beaucoup de risque en laissant la Citadelle et ces habitants sans surveillance.

[Inscriptions terminées, poursuivez le RP en ignorant les retardataires...]

Il y avait 3 soldats avec vous, dont un qui semblait plus haut dans les rangs que les deux autres. Ils ne semblaient pas très amicaux et plutôt sévères. Le plus haut gradé s'exprima après que le cyborg arriva:

ALLEZ! Maintenant suffis le bavardage et on avance les filles!

Il semblait fier de lui de ce qu'il disait et ce qu'il faisait. Les deux autres le suivait sans dire un mot. Ainsi, vous commencez à vous aventurer dans ce désert arride sans eau rempli de cactus et de surprises...

HRP: Vive Nina!

RP:
J’emboitai le pas d’un air sérieux suivant les gardes un peu trop confiants. Je me tenais à la droite de Seisui Nova.

- Effectivement, cher Nova. Mon statut de diplomate pour l’Organisation des Nations Paisible. C’est une petite organisation qui prône la paix dans le monde.

Tout en baratinant, je lançai un clin d’œil plus que révélateur à mon interlocuteur pour lui faire comprendre que ce n’était qu’un leurre.

- Et vous, qu'est-ce qui vous amène en ces terres si ennuyeuses, comme vous dites?

Je n’avais pas portez attention aux individus nous entourant exception faite des trois gardes. C’est pourquoi, avant même que Nova ait eu le temps de me répondre, je fus surpris par une jeune femme. Nous fument interrompu par une question plutôt saugrenue. Cette dame que je ne connaissais pas encore ne me donnait guère envie de lui répondre. Il fallait être audacieuse pour s’incruster ainsi dans un groupe avec des questions comme celle-là. Toutefois, par courtoisie, je lui répondis comme suit :

- Écoutez mademoiselle, si je peux me permettre vous êtes non seulement très audacieuse avec ces petites questions, mais aussi, à la limite de l’indiscrétion.

Cette jeune femme me dérangeait. Ce n’était pas seulement cette question, mais tout son être me paraissait étrange, curieux, mystérieux. Elle ne m’inspirait ni haine ni joie, c’était quelque chose entre les deux. Une chose inexplicable qui vient nous déranger dans notre quotidien mental. Elle avait piqué mon attention…