Kidaku

Prénom et Nom: Kidaku Ninado

Age: 362 ans

Race: Ange Déchu (En réalité il est un demi-ange-elfe)

Origine: Chili

Art pratiqué: Connaissance parfaite du corps

Pouvoir : Manipulation des os, au niveau mineur ça se traduit en pouvant faire pousser ses os rapidement pour en faire des armes, plus particulièrement ses doigts par exemple, pour les lancer.

Arme: Générée par son pouvoir

Lien avec d'autre joueur: Meilleur ami de Nïina Daelas

Caractère: L’innocence était ce qui l’animait autrefois, c’est encore ce qui l’anime de temps à autre d’ailleurs. Sa personnalité est presque multiple, ce que je veux dire par là c’est qu’il y a lui envers Nïina et lui avec les autres. Il a conservé sa personnalité initiale envers Nïina, mu d’innocence et la croyant sur parole, sans se poser de question. Et il y a lui envers les autres êtres vivants. On dirait qu’à force de vivre avec la folle qu’est Nïina, il l’est devenu peu à peu lui aussi. Ou alors c’est sa nature d’Ange Déchu qui l’influence? Son innocence s’est transformée progressivement en une volonté absolue de protéger Nïina. Toute personne lui voulant du mal n’a que deux possibilités, s’enfuir ou finir en bain de sang, chose qu’on peut voir aisément dans ses yeux. Toutefois, il faut mentionner que s'il interdit à quiconque de vouloir du mal de Nïina, il détestera tout autant toute personne étant trop proche d'elle mentalement.

Physique : Kidaku mesure 1m74, ses cheveux sont d’un noir profond et sont plutôt long. Ses oreilles de demi elfe ne sont que rarement affichées, étant totalement couvertes par ses cheveux. Il s’habille souvent de noirs, il aime l’effet de ressemblance avec ses cheveux. Ses yeux sont normalement d’un brun noisette tout à fait joli, mais quand il se fâche (En autre quand Nïina est en danger) ses yeux deviennent d’un rouge qui rappel le sang. Reste une chose à définir, l'impression qu'il donne en permanence. C'est plutôt variable, seul avec Nïina (Chose qui ne vous sert pas), il dégage une impression voir une aura d'innocence, on croirait voir un petit ange enfant jouant à la plage. Toutefois, si pour une quelconque raison il vous en veut, il s'en dégage une aura de meurtre imminent. La rage de ses mouvements à ces moments là (La majorité du temps en combat d'ailleurs) est telle qu'il faut rester soit même parfaitement calme pour éviter de graves blessures.

Histoire : Mon histoire commença il y a fort longtemps, j’étais tout jeune, jeune et innocent. Mon père était un ange, ma mère une elfe. Comment cela avait-t-il pu être possible? Mon père était de ceux qui combattaient les démons, il rencontra ma mère alors qu’il tentait de la protéger des démons qui tentait une attaque en une zone si loin de chez eux. Ils se sont tout de suite aimés, l’ennui c’est les temps étant ce qu’ils sont, mon père dut repartir plusieurs fois pour combattre les démons. Alors que j’avais 8 ans mon père disparu totalement de nos vies, un de ses soldanges vint voir ma mère pour lui apprendre la mort de mon père. Elle devint progressivement au fil des mois l’ombre d’elle-même, elle maigrit jusqu’à en mourir de chagrin...

Or, depuis quelques années déjà je fréquentais Nïina Daelas, c’était ma meilleure amie. La première fois que je l’avais vu, je l’avais prise pour une ange, tant elle était blanche. Nous nous sommes rapidement aimés, devenant inséparables. Pour une raison que j’ignore, je me retrouvai par la suite chez elle, j’y vécu une bonne partie de ma vie avec elle, dans sa maison. Tel frères et sœurs, sauf que l’adoption n’était pas coutume chez les elfes. J’y ai vécu heureux pendant une bonne période de temps, jusqu’à ce qu’un évènement macabre se produisit. J’étais parti dans le village pendant une heure ou deux, et quand je revint à la maison je découvrit le plus énorme bain de sang que j’ai pu voir dans ma vie. Au milieu de ce bain se tenait Nïina, debout au milieu de tout ce sang. Il y avait du sang partout, du moins c’est mon souvenir. Les quatre frères, les six sœurs et les parents de Nïina étaient étendus un peu partout, se noyant dans leur propre sang, encore chaud et frais.

J’étais choqué devant tout ce sang et devant l’horreur que ma meilleure amie avait commise. C’est alors qu’elle me dit une phrase dont je me rappellerai toujours : Nous sommes maintenant pareils... À peine quelques secondes après cela, un elfe s’aperçut de ce que Nïina avait fait, et il sonnât l’alarme générale. Nïina s’est enfuie pendant qu’elle se faisait lancer des pierres de tous les paysans...

Je suis resté quelques heures, caché dans la grange de l’épicier. Seul avec mes pensées toutes aussi contradictoires. Toutefois, l’amour que j’avais pour mon amie était plus fort que toutes les pensées que j’aurais pu avoir. Et puis, cette phrase... Nous sommes maintenant pareils... Nous sommes maintenant tous les deux orphelins... À force d’y penser, je réussi à me convaincre qu’elle avait fait ça autant pour elle que pour moi. Elle a voulu que nous soyons pareils... J’en suis certains, c’est sa manière à elle de me prouver qu’elle m’aime plus que tous le monde! Je me convaincs de ses pensées au fil de ces deux heures passées dans la sombre grange. Je fini par en sortir en volant, si on eu entendu mon départ, ça n’aurait semblé qu’un vent très rapide. Ma vitesse explosait, je devais la retrouver au plus vite!

J’ai fini par la retrouver après une demi-heure de recherche, elle était toute ensanglantée, presque autant que sa maison. Ses mains et son visage étaient si rouges qu’on eut dit du feu. Je m’approchai d’elle, elle me vit, et je lui fis alors un câlin. Le câlin d’amour le plus vrai qu’il était possible. D’un seul même câlin, je lui exprimait mon amour pour elle en même temps que j’acceptais tout ce qu’elle avait fais. Ses mains ensanglantées se retrouvèrent sur mes ailes, et nous avons commencés à pleurer ensemble, comme si nous formions une paire de yeux. Le sang de ses oreilles fraîchement coupées se mêla à mes cheveux, son corps et ses mains pleines de sang caressèrent mes ailes qui s’étaient refermées sur elle. Mes ailes sont alors devenues progressivement rouges, puis sombres et noires comme le charbon. Cela fait maintenant 152 ans que nous avons quittés notre village, et nous ne nous sommes jamais quittés depuis.

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