J'étais alors entrain de relaxer sur le bord de l'Océan Pacifique sur l'Île de Hawaii alors que bientôt j'allais me faire déranger.
Cette journée était des plus radieuse et je pouvais, pour une fois métendre sans me faire déranger par la faune local. En effet, les humains qui occupaient se bout de téritoire avait déplacer leur camp un peu plus loin car après quelque dispute avec eu ils ont vite compris que ce coins de paradi était a moi.
Le sable était blanc et extrêmement fin. On y voyait quelques énormes coquillages içi et là. Les palmiers étaient en pleinne former et ils donnaient l'impression d'être de grand parasol. L'eau aux allures turquoises était remplie de poissons tropicaux tous aussi beaux les un que les autres.
Le soleil était au dessus de ma tête et il tappait assez fort. Le vent était quasi absent. C'était le seul défaut. Un peu de fraicheur n'aurait pas fait de tord.
Je me relevai, quittant ainsi le bout de coral que j'avais arraché pour l'utilise en quise de tapis. J'y avait d'ailleur installer des éponges (marines) pour rendre le tout plus confortable . Je me dirigeai alors vers l'eau.
Un pas à la fois, un arrière de l'autre j'avancai vers la substance liquide si magnifique. Mes tentacules se balançaient de façon sensuele de gauche à droite. Elle étaient coordoné avec le mouvement d mes hanches. J'étais alors sur le point de pénétrer mon orteille dans le liquide alors que le vent se leva.
Je fu fort surpris par cela. Je déposa mon pied dans le fond de l'eau et une nouvelle brise apparu.
- C'est vraiment étrange ... il n'a pas venté depuis cela trois jours ...
À c'est pensè, je me fis bousculé par un vent extrêmement violent venant de la droite. Je tournai la tête me disant que ce n'était pas une cause naturel.
Je fixai le vide à la recherche de réponse que je ne trouvai pas. Je mis le deuxieme pied dans l'eau et c'est alors qu'une vrai tempête tropicale se leva.
Le ciel était devenu en un éclair un vrai brouhaha. Les éclairs, le vent, la plui les nuage et l'eau qui se déchainait. Je sentit tout cela m'envelopper.
J'avais l'impression que le vent tournait autour de moi, C'était justement ce qui se passait. Mes pieds quittèrent le sol et mes bras était collé toutle long de mon corps qui lui étiat raide. Des ombrres et esprits noirs se mirent à apparâîtrent et a tourner autour de moi eux aussi. Je réussi alors à libérer une de mes mains. Je la mis devant mon visage pour constater qu'elle commençait à se désintégrer en poussière noire. S'en suivi de mon btas, lautre bras les jambes et toutle reste. Il ne restait plus rien de moi. La tempête se calma. La pluie cessa, la foudre arrêta et l'eau redevin serène. Il ne restait plus que le morceau de corail qui venait de retomber sur le sol car il avait été emporté par le vent ...
Quelques minutes plus tard je constatais que j'étais encore en vie et en un seul morceau. Je réalisai alors ce qu'il se passait.
En effet, je n'étais pas encore habitué aux invocations. Malgré que j'étais une démone farouche il y avait encore des trucs avec lesquelles j'aivas de la misère. Je me levai et regardai la personne qui était en face de moi. Ce n'était pourtant pas un étrangé masi je le regardai avec méfiance.
La raison était que ce n'était pas la première fois qu'il m'invoquait.
- Qu'est-ce que tu veux encore Thexiss ? Tu ne voyais pas que j'avais enfin un moment de calme à moi toute seule ?
- Oh ! Loin de moi le but de vous déranger, oh maîtresse des eau troubles mais nous avons de sérieux problème.
- Thexiss ... combien de fois dois-je te le répéter ! JE SUIS UN DÉMON ! je ne suis pas faite pour aid...
- 50 ämes !
- Pardon ?
- Je vous offre 50 âmes so vous me débarassez de me promblème !
- Quelle sorte de problème ?
- Et bien, le humains ont fait construire un barrage immense sur le Nil un peut plus au Sud. Le barrage appartien au humain et en plus ils poluent notre eau ! Alors, pour nous la région du Nord nous n'avons plus une seul goute d'eau potable !
- Qu'est-ce que vous faites de vos énormes machine qui filtre l'eau ?
- Ils les ont saboté !
- Saboté ? ... ah .. pourquoi les humains se font-ils encore la guerre ? ... de toute façon .. cela fait longtemps que je ne me suis pas livré à une mission de cette sorte ... de plus 50 âmes ce n'est pas de reffus.
- Merci dame des eau troubles !
Thexiss l'embrassa sur la main, rammassa ses chandelles et aute trucs d'invocation et me reconduisie à la sortie du temps des Démons.
Il montra l'emplacement du barrage sur une carte. Thexiss avait eu peine à se retourner que j'étais déjà partie.
Les eaux du Nil étaient particulièrement chaudes aujourd'hui. Ce n'était surement pas à cause du soleil car il faisait nuit içi. C'était surement à cause de la pollution qu'entraînait ce barage. Quelques kilomètres plus je voyais de plus en plus de poissons morts. Je vis même un crocodile mort.
Il était extrêmement maigre pour son âge et il était surement décédé dans l'heure.
- Je ferais mieu de sortir de l'eau. Elle n'a pas l'air très salubre par içi.
En sortant, je vi le barrage. Il était gigantesque. Je me demandais pourquoi ils en avaient installé un içi car le débit de l'Eau n'Est pas assez puissant pour produire une quandtité suffisante d'énergie. Je me dis alors qu'il y avait quelque chose de louche içi. J'utilisai alors mon pouvoir spécial.
Je fis apparaitre un épais nuage de brouillard tout autour et à l'intérieur du barrage. Par la suite, je n'eu aucune misère à y entrer car le garde à l'entré était endormi. Je ne pris aucune chance. J'ouvri ma geule éorme de requin et lui arrachai la tête d'un coup sec. Je vit alors es clef de celui ci qui trainaient dans la marre de sang. Je les saisi et ouvrir la lourde porte de métal. J'y entrai comme dans un moulin. Dans tout les corridor étaient désert. Surement au fait que c'était la nuit. Par précossion je laissai le brouillard intacte. Il me restais maintenant un seul couloir à fouillé. Au bout de celui si se trouvait une porte plus épaisse que celle que j'avais emprunter pour entrer. Je pris mon trident et le coinçai entre la porte et le cadre de porte. Je m'en servi comme pied de biche. Je forçai de toute mes force et la porte fini par céder et elle s'ouffrie dans un grand fraqua. Je regardai autour de moi si j'avais allerté quelqu'un.
C'était désert. J'entrai donc à l'intérieur et ... horreur ... C'était en fait une usine d'armement militaire. Une chaine de montage de fusil d'assault, pistolet et autre calibres. Il y avait une énorme trappe grillé au milieu ou l'eau du Nil circulait. C'était dans la même trou que les robot y jetais le débris de rouilles, pièces disfonctionnels et autre truc du genre.
- Je dois faire arrêter tout cela à tout pris !
J'entrai dans la salle de contrôle. Ne sachant sur quel bouton appuyer je détruisai tout sur mon passache et rien n'avait survécu.
Les machines avaient arrêter et la produciton était intérompu. Je pris le temps d'éléminer c'ets sois disans robot. Je les mis par la suite dans un seul tas.
Je me mordi l'index et j'écrivais alors sur le mur un message de menace et de mort cordialement signé Eichiro.
La seconde suivant je replongai dans l'eau, cette fois si moins salle, et retournai voir Thexiss. J'entrai dans sa maison avec fraca.
- J'ai fais ce que tu voulais ! Alors, ou sont mes âmes !?
- Elles sont là !
Thexiss retira un couverture qui cachait une cage avec 50 poules. Je regardais la cage ... et puis je détournai mon regard vers l'égyptiens fier de son coups.
- Quoi !? Je sauve ton village et j'ai droit à des poules Thexis ... tu tes joué de moi ! Que le diable t'emporte Thexiss !
Je le pris par la gorge avec une seule main et lui cassa le coup. J'ouvri la machoir et le goba d'un seul coups. J'en fis de même avec sa femme qui était endormi et ses 8 enfants térrorisés. Je pris bien soin de laisser ma marque dans leur village histoire de semmer la panique. Je retournai donc au Temple des Démon. Je pris plance dans le pantagrame et prononcai la formule en latin qui fit en sorte de refaire lever la tempête et de me reconduire à la maison.
Sujet: Une goutte d'eau pour un verre (entraînement de Septembre) 
Sam 26 Sep - 1:18